La machine à bulles

La machine à bullesÉditions Michel Quintin (détails ici)
Illustrations: Gilles Tibo

Aussi traduit en anglais (The Bubble Machine) et en coréen

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Résumé:

Abracada… pyja… cépaça! Abracada… choco… wicéça! Devinez la dernière invention de Mouk Tchouk? Une machine pour faire des bulles increvables! La jeune princesse Clémentine et tous les enfants du Royaume s’en donnent à cœur joie: de tous les jardins, des bouquets de bulles increvables montent vers le ciel. Mais les millions de petites bulles jaunes forment bientôt un grand couvercle au-dessus du Royaume. Le soleil tape fort et le climat se détraque. Les dégâts seront-ils réparables?

Prix de littérature jeunesse 1995 du Conseil des Outaouais de l’association internationale pour la lecture.

Ce qu’on en dit…

Sélection Communication-Jeunesse:
«La machine à fabriquer des bulles increvables est une invention qui réjouit tous les enfants du royaume. Mais voilà que l’accumulation de toutes ces bulles dans le ciel représente une menace pour la planète. Comment réparer tout ce gâchis? Un album à saveur écologique qui baigne dans la magie des illustrations lumineuses de Tibo.»

«Chaque conte de cette collection veut sensibiliser les enfants à la protection de l’environnement. Dans chaque histoire, Mouk Tchouc, le magicien-jardinier, est prêt à tout pour plaire au roi Pépin et à sa fille Clémentine. Dans ce conte-ci, troisième de la collection, Mouk Tchouc invente une machine à faire des bulles increvables. Partout dans le royaume, les habitants fabriquent des bulles increvables qui s’envolent dans le ciel. Après quelques mois de plaisir, on constate que ces bulles sont très nuisibles pour l’environnement. En s’accumulant dans le ciel, elles produisent le fameux «effet de serre». J’ai beaucoup aimé l’étrange montgolfière-aspirateur utilisée pour nettoyer le ciel. Le bon roi Pépin et la sympathique petite princesse plaisent aux enfants. La lecture des deux pages explicatives après le conte est essentielle si l’on veut sensibiliser l’enfant à la protection de sa planète. Il comprend que la même chose pourrait arriver «pour de vrai». À la fin du conte, le magicien Mouk Tchouc a trouvé quelques solutions pour enrayer le problème qu’il a créé. Mais il reste à savoir ce qu’il fera de tous les déchets toxiques qu’il a ramassés. On peut questionner les enfants, leur demander s’ils pensent à des solutions… après tout, ils auront sans doute à disposer de tous nos déchets, à trouver le dénouement de cette histoire.»
Mireille Villeneuve, animatrice, revue Lurelu, vol18 no1, 1995, p. 25