Éditions Québec-Amérique, 2022
Sur l’Île-Mère, territoire rude et isolé, les « sains » sont tout en haut de la hiérarchie. Les « bariolés », comme Adème, touchés par une décoloration de la peau, sont à leur service. Envoyés à la mine, ils collectent des morceaux de plastique et autres colifichets, richesses de ces temps nouveaux. Quand Adème est accusée de vol, tout dégénère et sa fuite devient inévitable. Prenant la mer, la jeune fille amorce sa découverte d’elle-même, de son histoire et de celle du monde qui l’entoure. Les habitants de l’Île-Mère sont-ils vraiment les seuls survivants du Big Bang ? Les mentalités sauront-elles évoluer au rythme des nouvelles connaissances ?
Couverture: photomontage à partir des oeuvres de acoblund / iStock.com, Amdrey_Kuzmin /shutterstock.com, scjankz/ shutterstock.com et Tihti Luadthong / shutterstock.com
Déroutant, dérangeant et envoûtant : La complexité des personnages, la profondeur des relations, la richesse de l’intrigue sont autant d’atouts qui gardent le lecteur captif. Original, terriblement humain et puissant. (communiqué de l’Éditeur, document pdf)
Recommandé par Communication-Jeunesse, Qu’est-ce qu’on lit, été 2022
(Aussi parmi les titres suggérés pour Célébrer la diversité corporelle)
Entrevues, printemps 2022: Télévision du Haut-Richelieu et Studio Saint-Jean
Article, journal Le Canada-Français, 12 mai 2022, La curieuse île de l’auteur Jean-Pierre Guillet
Critiques :
» La bariolée de l’Île-Mère pose un regard lucide sur la nature humaine, laquelle s’exprime de manière complexe entre cruauté et altruisme. Derrière le caractère universel de la quête d’Adème, et celle de Bjarni en seconde partie, ressort une réflexion critique de la société contemporaine (…) l’enchainement rapide des péripéties maintien le lecteur en haleine de la première à la dernière page. » Sandra Faucher-Marquis, revue Lurelu, automne 2022
« Guillet applique avec succès les recettes d’une histoire palpitante. Les personnages sont sympathiques, parfois même quand ils semblent un peu candides. Ils tombent sans cesse de Charybde en Scylla. Et ils font preuve d’initiative, de courage et d’ingéniosité pour s’en sortir. C’est peut-être l’ouvrage le plus ambitieux de Guillet depuis La cage de Londres (2003) qui prolongeait La Guerre des Mondes de H.G. Wells. (…) Les amateurs d’action soutenue et de science-fiction divertissante seront servis. » Jean-Louis Trudel, Revue Solaris 223, été 2022
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.